Cyberacteurs: des bonnes nouvelles !

Journal des Bonnes Nouvelles du 28 juillet 2014 :
de quoi nous inciter à rester mobilisés même pendant l’été.
🙂

“Le Purin d’Ortie et les PNPP enfin reconnus par la loi…”
L’énergie nucléaire est en déclin rapide sur la planète
Gaz de schiste : des paysans polonais font plier Chevron
Victoire contre la centrale Hambregie : la Cour Administrative d’Appel a confirmé les jugements de 1ère instance
A 831. Royal ne veut pas d’un nouveau tronçon autoroutier dans l’Ouest
Forte mobilisation pour la consultation publique sur le TAFTA / TTIP
VOIR revue de presse de samedi !

Ecover se décide à répondre : raison de plus pour maintenir la pression
cyber action N° 632: Ecover doit renoncer à toute utilisation de produits obtenus par biologie de synthèse
https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/ecover-renoncer-utilisation-produit-800.html
Notre boutique solidaire est en ligne
https://www.cyberacteurs.org/boutique/index.php

Boutique de ventes de produits de nos partenaires, adhérents, sympathisants …
Livre, Jeux, CD, DVD, soutiens à des causes, aux lanceurs d’alertes, autocollants,…
Vous retrouverez toutes ces rubriques dans cette boutique. où toutes vos productions militiantes, culturelles… pourront trouver place pour se faire connaître de nos abonnés.
cyber @ction N° 634: Liberté pour trois Français partis en vacances au Maroc, arrêtés, torturés emprisonnés.
https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/liberte-trois-francais-partis-vacan-802.html
cyber @ction N° 635: Semences paysannes : encore un effort Mesdames et Messieurs les Parlementaires !
https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/semences-paysannes-encore-effort-me-803.html
 
Le Réseau Semences Paysannes se félicite des quelques portes entre-ouvertes par la Loi d’Avenir Agricole pour les semences paysannes. Depuis vingt ans, chaque vote sur les semences offrait un « carton plein » au lobby semencier, contre les aspirations des français qui réclament une vraie défense de la biodiversité cultivée et alimentaire menacée de disparition par les lois semencières. Un changement est-il en train de s’amorcer dans la continuité de la récente loi d’interdiction de culture des maïs OGM ?
Le Parlement a en effet reconnu le droit élémentaire des agriculteurs d’échanger leurs propres semences. Malheureusement, ce droit reste encore soumis à l’agrément des Groupements d’Intérêt Économique et Environnemental (GIEE) donné par des commissions où les multiplicateurs et les vendeurs de semences industrielles qui dominent la « profession » agricole risquent d’être largement majoritaires : accepteront-ils de bon gré que des paysans s’organisent pour ne plus acheter leurs semences chaque année ?
Le Parlement a aussi commencé à limiter la portée des brevets sur le vivant : ils ne s’appliqueront pas en cas de contamination accidentelle d’un champ ou d’un lot de semences. Mais qu’adviendra-t-il si un agriculteur informé d’une telle contamination veut utiliser sa récolte comme semence, par exemple pour sélectionner et conserver ses variétés locales ? La présence du caractère breveté ne sera plus accidentelle, mais intentionnelle. Sera-t-il traîné devant les tribunaux comme un vulgaire malfaiteur ?
Le Parlement a enfin rétabli la limitation de la réglementation des semences à son seul objet : la production et la vente de semences commerciales. Contrairement à ce que voulait imposer l’ancienne majorité, les agriculteurs pourront continuer à utiliser leurs semences de ferme et paysannes sans que les normes de la réglementation du commerce ne puissent les en empêcher. Mais la loi sur les Certificats d’Obtention Végétale de 2011, qui vise à interdire les semences de ferme ou à les taxer de royalties reversées à l’industrie, n’est toujours pas abrogée.
Le Réseau Semences Paysannes remercie toutes les organisations du collectif Semons La Biodiversité et tous les parlementaires qui ont œuvré pour gagner ces quelques avancées. Mais il les appelle à ne pas s’arrêter en chemin et à rester mobilisés pour obtenir la pleine reconnaissance des droits inaliénables des agriculteurs de conserver, d’utiliser, d’échanger, de vendre leurs propres semences et de les protéger des contaminations génétiques comme de la biopiraterie.
Contacts :
Philippe Catinaud, co-président du Réseau Semences Paysannes
Guy Kastler, délégué général
Nous vous proposons de vous associer en assurant vos parlementaires que nous restons mobilisés pour obtenir la pleine reconnaissance des droits inaliénables des agriculteurs de conserver, d’utiliser, d’échanger, de vendre leurs propres semences et de les protéger des contaminations génétiques comme de la biopiraterie.
COMMENT AGIR ?
Sur le site : Cette cyber @ction est signable en ligne
https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/semences-paysannes-encore-effort-me-803.html
* * * * * * * * * *
Prénom, NOM
adresse
Code postal, commune
Madame, Monsieur le député
Madame, Monsieur le sénateur,
Avec le Réseau Semences Paysannes je me félicite des quelques portes entre-ouvertes par la Loi d’Avenir Agricole pour les semences paysannes.
Le Parlement a en effet reconnu le droit élémentaire des agriculteurs d’échanger leurs propres semences. Malheureusement, ce droit reste encore soumis à l’agrément des Groupements d’Intérêt Économique et Environnemental (GIEE) dominés par les vendeurs de semences.
Le Parlement a aussi commencé à limiter la portée des brevets sur le vivant : ils ne s’appliqueront pas en cas de contamination accidentelle d’un champ ou d’un lot de semences. Mais si un agriculteur informé d’une telle contamination veut utiliser sa récolte comme semence, la présence du caractère breveté ne sera plus accidentelle, mais intentionnelle. Sera-t-il traîné devant les tribunaux comme un vulgaire malfaiteur ?
Le Parlement a enfin rétabli la limitation de la réglementation des semences à son seul objet : la production et la vente de semences commerciales. Mais la loi sur les Certificats d’Obtention Végétale de 2011, qui vise à interdire les semences de ferme ou à les taxer de royalties reversées à l’industrie, n’est toujours pas abrogée.
Croyez, Madame, Monsieur, que je reste mobilisé pour obtenir la pleine reconnaissance des droits inaliénables des agriculteurs de conserver, d’utiliser, d’échanger, de vendre leurs propres semences et de les protéger des contaminations génétiques comme de la biopiraterie.
* * * * * * * * *

Par courrier électronique : C’EST FACILE : A VOUS DE SUIVRE LES 6 ETAPES SUIVANTES :
1- Copiez LE TEXTE À ENVOYER ci-dessus entre les * * * * *
2- Ouvrez un nouveau message et collez le texte
3- Signez le : prénom, nom, adresse, ville
4- Rajouter l’objet de votre  choix : semences paysannes : encore un effort
5- Adressez votre message aux adresses suivantes :
cbartolone@assemblee-nationale.fr

cyberacteurs@wanadoo.fr
Cliquer ici :
<mailto:cyberacteurs@wanadoo.fr;cbartolone@assemblee-nationale.fr>
ou ici selon votre logiciel de messagerie

<mailto:cyberacteurs@wanadoo.fr,cbartolone@assemblee-nationale.fr>


Vérifiez que les 2 adresses apparaissent bien
6- Envoyez le message
Par cette action, vous ferez connaître votre opinion au Président de l’Assemblée Nationale et à Cyber @cteurs pour nous permettre d’évaluer l’impact de cette action.
En signant sur le site, vous pourrez envoyer copie à votre député et au sénateurs de votre département si vous avez un compte et que vous avez choisi vos élus.

Association Cyber @cteurs C/O Alain Uguen 152 rue F.Pelloutier 29000 QUIMPER

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *