La fin du capitalisme… et après ?

Lucien Pfeiffer
col-economie.gif

[photopress:capitalisme_final.jpg,thumb,pp_image]Aujourd’hui, ce sont des entrepreneurs, des banquiers, des économistes, qui s’adjoignent au mouvement altermondialiste pour nous alerter : le système capitaliste est en train de s’autodétruire !
Les Etats ayant renoncé à leur droit régalien d’émettre la monnaie, la « bulle financière spéculative » va éclater et provoquer des conséquences dramatiques.
Ce livre ouvre des pistes pour rebâtir un monde où l’homme sera enfin la finalité de l’économie.
Lucien Pfeiffer clarifie certaines notions clés, de façon très pédagogique, pour sortir des confusions : l’entreprise, la monnaie, la comptabilité publique, etc.
Son apport fondamental est de faire des propositions de réformes et de lois pour :

  • une nouvelle forme d’entreprise,
  • la couverture du risque économique par les assurances,
  • la comptabilité publique,
  • une nouvelle forme de prêt à bail
  • de nouveaux indices pour le PIB

Entre autres, il propose d’imputer les coûts du capital dans le prix de revient, et d’attribuer les résultats au collectif de travail : une inversion qui changerait la face du monde !
Lucien PfeifferLucien Pfeiffer a été chef d’entreprise, directeur de banque, inventeur du Crédit Bail et des SICOMI. Après avoir créé des coopératives de production au Cameroun, de retour en France, il implanta le leasing et dirigea l’Union de Banques à Paris. A plus de 80 ans, il continuait de conseiller de jeunes entrepreneurs et écrit articles, livres et propositions.
Collection économie
ISBN 2 913492 39 8
EAN 9782913492394
Prix 15 €
>>> Commander ce livre

Pas de réponses

  1. Eric Lombard dit :

    Lucien Pfeiffer titille nos neurones en inversant les termes de l'équation capitaliste. Redonner le pouvoir à ceux qui créent et font tourner l'entreprise au quotidien implique de le retirer aux actionnaires. Mais comment ?
    L'auteur propose de faire couvrir par l'assurance le risque pris par les actionnaires. Ceux-ci deviendraient de simples prêteurs rémunérés, dont la mise serait ainsi garantie.
    Mais cela peut-il fonctionner ?
    – Une entreprise en difficultés dans laquelle le pouvoir est aux employés n'aura-t-elle pas tendance à les protéger en écartant toute perspective de licenciement, au risque de la faillite et donc au détriment de la société d'assurance ?
    – Et si les sociétés d'assurance fonctionnent sur le même principe, qui assurera celles-ci ?
    En espérant que mes questions seront transmises à l'auteur …

  2. Y dit :

    Est-ce vraiment la fin du capitalisme ou une nouvelle démonstration de sa capacité d'adaptation ? Pour quelques réflexions complémentaires, voir http://yannickrumpala.wordpress.com/2008/10/15/ch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *